Inoshishigami (The Divine Boar)
. il faut être très attentif quant aux plis de préparation (pas 2 à 25), qui demandent beaucoup de précision.Le moindre écart rend le pliage impossible.
. les pas 27 à 35 sont cruciaux pour le bon pliage de la hure du sanglier, tout à fait à la fin. Ce sera une des plus grosses difficultés du pliage.
. le pliage de la future crinière (pas 51 à 75) demande beaucoup d'attention, même si, fondamentalement, ce n'est pas (trop) difficile. Il faut préparer avec soin les différents plis enfoncés ouverts ou fermés ou écrasés. Ils se font assez bien.
. la confection de l'ébauche de corps (pas 77 à 84) se fait difficilement, le modèle ayant du mal à s'aplatir.
. la création de la crinière (pas 85 à 91) utilise une dose d'imprécision (plis sans vraie référence) qui rend très délicat le pliage.
. la confection de la queue commence par un pas peu clair (92), mais s'enchaîne ensuite sans trop de difficultés jusqu'au pas 100.
. la formation des pattes arrière (pas 101 à 112) exige que le pli du pas 102 parte bien en arrière, de manière à former un coin (bien apparent sur les diagrammes). Il sera très indispensable pour pouvoir former l'arrière du ventre.
. le plus difficile est certainement la formation de départ de la tête (pas 126 à 133). Une série d'opérations difficiles à identifier, mettant en jeu des plis de préparation effectués au tout début du pliage, se révèle très difficile à mettre en oeuvre et vitale pour la suite du pliage. A étudier de près !
Le modèle est tout aussi remarquable quant aux techniques employées que pour l'aspect du résultat final. Il faut de la patience et accepter que les premiers essais soient mauvais. Et utiliser un carré d'au moins 30 x 30 cm.